Julien Fere
Master Recherche (2006), filière marketing, publicité et communication
« Le CELSA est devenu une référence aussi bien dans le monde des agences qu’à l’université »
Après un Bac scientifique, je me suis inscrit en classe préparatoire Lettres Modernes à Lakanal. Ces deux années m’ont apporté un socle de culture générale et une rigueur de pensée très utiles au CELSA.
A la fin de ma khâgne, admissible à l’ENS et admis au CELSA, j’ai finalement décidé de m’orienter vers une filière plus professionnalisante, en droite ligne avec ce que je souhaitais faire et mon vrai projet de carrière.
Pour les épreuves écrites du concours, les cours dispensés en prépa m’ont semblé suffisants. En effet, ce que l’on évalue à l’écrit, selon moi, ce sont des capacités de réflexion et de dissertation, non des connaissances. En revanche, pour l’oral, j’avais bien bossé le sujet car je savais que la sélection se ferait sur mes motivations et la cohérence de mon parcours. C’est là-dessus je pense qu’il faut travailler, en ayant un CV soigné et un discours qui ne dise pas que l’on est tombé là par hasard.
L’arrivée en licence a été un peu difficile, je devais me familiariser avec le milieu du Marketing. En revanche, j’ai tout de suite accroché avec les enseignements. J’ai découvert la sémiologie et mon premier stage m’a conforté dans l’idée que j’avais bien fait de choisir le CELSA.
A la fin de ma deuxième année (Master 1), j’ai choisi de m’orienter vers la filière recherche car j’avais envie d’aller plus loin et de m’investir non seulement sur le plan professionnel mais également sur le plan universitaire, dans la discipline des Sciences de l’Information et de la Communication. Je pense que ces deux formations sont très complémentaires.
Pour moi, le CELSA est devenu une institution, une référence quand on parle de communication aussi bien dans le monde des agences qu’à l’université, une école qui a su se moderniser tout en restant fidèle à l’esprit des fondateurs.
J’ai obtenu mon dernier diplôme master recherche en septembre 2006. Depuis, j’ai intégré une grande agence de conseil en communication, Euro RSCG C&O avec laquelle je travaille pour trois ans tout en continuant ma thèse, sur la base d’un contrat à mi-temps. Je dispense également des enseignements au CELSA et à Sciences Po et espère bien obtenir mon doctorat dans les années qui viennent. Cette école m’a permis de trouver ma vocation et suivre ma voie…
Florent Lafarge
Magistère de communication (2004)
« Le CELSA est une école hybride, inscrite dans son temps et unique dans son genre »
Après un Bac ES, j’ai obtenu un Deug d’Administration Économique et Sociale (AES) à Paris V. Je me suis assez vite intéressé au CELSA, grande école au sein de la Sorbonne, qui m’est apparue comme étant la référence en matière de communication. Dès la 2ème année de mon Deug, j’ai activement préparé le concours d’entrée au Magistère : pour la dissertation, j’ai lu et annoté une bonne partie des ouvrages listés dans la bibliographie conseillée ; j’ai beaucoup préparé la méthodologie pour l’épreuve de synthèse et rédigé chaque semaine une dissertation en anglais, que mon professeur d’AES a bien voulu me corriger. Pour l’anglais – épreuve capitale pour le concours – j’ai aussi travaillé comme barman à Londres durant mes congés.
Les conditions d’enseignement au CELSA sont vraiment privilégiées : après avoir connu les amphis surchargés de la FAC, j’ai vraiment apprécié le fait d’être 25 étudiants en Magistère. Les enseignements sont très diversifiés, en prise directe sur le monde d’aujourd’hui, vivants et denses. Les nombreux intervenants professionnels extérieurs, ouverts au dialogue, nous font partager leur vécu concret, ce qui est très formateur. Autre atout du CELSA, et non des moindres, la richesse des enseignements dispensés en sciences humaines, héritage universitaire de la Sorbonne : ces cours nous donnent un vrai plus par rapport aux étudiants diplômés d’écoles de commerce, notamment dans l’analyse de situations professionnelles complexes. J’ai par ailleurs apprécié la veille constante menée sur les programmes, mais aussi la possibilité d’évaluer nos professeurs.
Je me suis spécialisé dans le secteur industriel, afin de valoriser le travail des hommes. J’ai effectué mon stage de fin d’études pendant huit mois au sein du service communication de la direction des achats de Renault, avec pour mission la création de leur intranet. J’ai ensuite été recruté chez PSA Peugeot Citroën où je suis devenu Rédacteur en chef du site intranet de communication et de l’agence d’information interne par messagerie. Aujourd’hui, je suis responsable Intranet/Internet de division chez Thales.
Alexandra Malak
Master Professionnel management des ressources humaines et communication (2002)
« La force de l’Ecole : se remettre constamment en question pour faire évoluer les programmes en les adaptant aux attentes des élèves et aux besoins des entreprises.»
« Avant d’intégrer le CELSA, j’ai suivi deux ans de classe prépa : Hypokhâgne et Khâgne, spécialité Anglais.
Pour préparer le concours, le plus important selon moi est de lire et de se nourrir de l’actualité, pas 2 ou 3 semaines avant le concours mais plusieurs mois avant !
Pour l’épreuve d’anglais, il est très utile de lire des publications telles que » The Economist « , » Newsweek » ou encore » Times » : au-delà de l’entrainement linguistique, cela permet de réfléchir sur des thèmes d’actualité et de s’ouvrir aux analyses internationales. .
Pendant ma scolarité, certains professeurs m’ont particulièrement marquée par la passion qu’ils exprimaient pour leur métier lors de leurs interventions. Ils m’ont aidé à affiner mon projet professionnel par leurs conseils et par l’ancrage de leurs cours dans des exemples concrets.
D’une part, le CELSA offre des enseignements de grande qualité dispensés par des professionnels en majorité et, d‘autre part, des apports universitaires qui permettent ensuite de mieux analyser son quotidien pour prendre du recul, comprendre et s’insérer dans un environnement donné.
La force de l’Ecole, c’est aussi de se remettre constamment en question pour faire évoluer les programmes en les adaptant aux attentes des élèves et aux besoins des entreprises.
Mon premier job, chez IBM, s’est inscrit dans la continuité du stage que je venais d’y faire pour conclure mes études. Puis, après 2 ans dans le secteur informatique, j’ai rejoint celui des produits de grande consommation : je suis aujourd’hui Responsable RH chez BIC où je travaille pour la zone Europe, Moyen-Orient et Afrique.
J’ai aussi le plaisir et l’honneur de retourner au CELSA tous les ans, pour y intervenir sur la prise de poste en RH auprès des élèves de Master : on ne quitte jamais tout à fait le CELSA…»
Stéphanie Guillaume
Fondatrice et directrice de l’agence AVEC DES MOTS, Magistère de Communication 1995
« J’ai choisi le CELSA car à l’époque déjà, l’école était considérée comme la voie royale pour tous ceux qui voulaient «faire de la communication». La combinaison de théorie et d’enseignements professionnels, les intervenants de très bon niveau, l’approche de la communication dans tous ses aspects ne m’ont pas fait hésiter. Les trois années de Magistère créent aussi des liens forts entre les étudiants, dont certains sont restés de proches amis aujourd’hui.
Pendant ma formation, j ’ai acquis les fondements de la communication et une bonne base de culture générale. Le CELSA m’a appris à structurer ma pensée et à m’adapter à toute situation humaine et professionnelle. Il a conforté mon envie de travailler dans l’univers de la communication et permis de préciser ce qu’on appelle son «projet professionnel.
A la fin de mes études, je suis devenue conceptrice-rédactrice, responsable de projets d’édition, auteur puis rapidement chef d’entreprise. J’ai fondé l’agence de communication écrite Avec des Mots en 2000, et suis également directrice associée d’une maison d’édition, Graine 2.
J’ai gardé de nombreux liens avec le CELSA. J’interviens depuis plusieurs années en formation initiale et continue pour maintenant transmettre mes acquis professionnels. J’aime l’idée de boucler la boucle, et le fait d’intervenir m’oblige à prendre du recul par rapport au quotidien, à théoriser la pratique, c’est très formateur. Je suis également «rapporteur de mémoire» de certains étudiants. Je reste très attachée à cette école qui évolue avec son temps, ce qui est très bien ! »
Laurent Sabbah
Directeur de la Communication Interne, Club Méditerranée
Maîtrise de Journalisme 86
« J’ai choisi le CELSA pour plusieurs raisons : son excellente réputation dans le domaine du journalisme, ses enseignements largement tournés vers la pratique professionnelle, la petite taille des promos et la qualités des enseignants de matières académiques et des professionnels des médias. Le CELSA m’a permis d’acquérir un vrai savoir-faire professionnel en matière de journalisme et d’être très rapidement opérationnel. Il a été une «carte de visite» efficace lors de mes premiers emplois et le reste aujourd’hui. C’est une référence qui m’est très utile et un gage de qualité.
A la sortie de l’Ecole, j’ai exercé le métier de Journaliste grand-reporter pendant 10 ans pour RFO-TV, RTL Télévision, La Cinq, France 3…De 1996 à 1999, j’ai été Consultant senior en Communication Corporate pour l’agence Edelman (Agence US de Relations Publiques / Presse) puis Directeur de la Communication Interne du groupe Club Méditerranée, poste que j’occupe actuellement.
L’un de mes meilleurs souvenirs au CELSA ? C’était le tout début des «Restos du Cœur» et dans le cadre d’un journal télévisé école, j’étais parti en reportage avec une équipe vidéo dans un gymnase pour couvrir un des événements organisé par les Restos du cœur. Coluche était là pour un match de foot. J’ai eu le grand plaisir de passer un moment avec lui puis de l’interviewer pour le CELSA. Un souvenir fort et plein d’émotion !
Aujourd’hui, j’ai gardé des liens avec l’école, j’y enseigne régulièrement dans deux domaines : Communication de Crise et Plan de Communication. Je suis régulièrement l’actualité du CELSA. Je participe à des rencontres organisées dans le cadre de l’Association des Anciens Elèves Diplômés. Je fais en sorte de me rendre disponible pour les étudiant du CELSA (travail de recherche, conseils, …) et y consacre du temps. »
Agnès Cudennec
Master 2 professionnel Communication des collectivités territoriales promotion 2013/2014
Chef de projet et communicante à la Haute Autorité de Santé (HAS)
« Je souhaitais donner du corps à mon projet professionnel et acquérir les compétences en communication pour me professionnaliser. »
« Je suis titulaire d’un doctorat de Pharmacie et d’un 3ème cycle en gestion et marketing. Après un parcours professionnel dans l’industrie pharmaceutique et à l’Agence Nationale de Sécurité des Médicaments et des produits de santé (ANSM), j’exerce actuellement à la HAS.
J’ai souhaité orienter ma carrière vers un projet professionnel avec une visée communicationnelle. J’ai donc recherché une formation en communication professionnalisante.
Le contenu du programme du Master 2 Communication des Collectivités Territoriales ainsi que l’excellente réputation du Celsa, grande école de l’université Paris 4 Sorbonne m’ont convaincue.
La formation allie cours théoriques et pratique professionnelle. La mise en perspective internationale ainsi que les cours d’anglais m’ont sensibilisée aux relations interculturelles. Les professeurs et enseignants sont excellents.
Le Celsa m’a permis de faire « l’expérience » de la communication. J’agis aujourd’hui en tant que communicante avec un savoir-faire et une expérience acquis grâce à la formation. De plus, je me réfère à mon mémoire d’étude et de recherche, un projet transversal de communication au sein de la HAS.
Mon investissement personnel a été important compte tenu de l’excellence de la formation. Quelle satisfaction de réussir à transmettre l’envie et la motivation qui permettent d’agir « ensemble ».
Il y a un avant et un après Celsa. Je fais aujourd’hui partie du dynamique réseau de l’association des anciens diplômés du Celsa. »
Nora Azouz
Gérante, Consultante en communication PLUM’PRODESS Communication des entreprises et des institutions.
« Après avoir exercé la profession de journaliste pendant de nombreuses années au Parisien, à France 3, à RFO Guyane, à RFI, au Groupe Liaisons Sociales, j’ai souhaité réorienter ma carrière en 1997. Comme le CELSA dispensait les enseignements en formation continue les plus cotés sur le marché, mon choix s’est tout naturellement porté sur cette école. J’ai passé le concours et j’ai obtenu mon DESS en Techniques d’Information et de Communication, option Communication en entreprise, l’année suivante.
Le CELSA m’a été doublement utile : d’une part, il m’a permis de me constituer un solide « background » théorique et pratique. D’autre part, il a renforcé la confiance que j’avais en moi : les méthodologies scrupuleuses enseignées, l’initiation aux outils, la transmission de grilles de lecture se sont avérées indispensables dans ma pratique professionnelle, en marketing ou lors de la réalisation de recommandations stratégiques et de plans de communication, par exemple.
A la sortie de mon DESS, j’ai occupé plusieurs postes en tant que chargée de communication au CESI (organisme de formation), à la direction générale, puis de directrice conseil dans une agence de communication. Journaliste spécialisée dans les RH et la protection sociale au groupe Liaisons Sociales (Wolters Kluwer), responsable des rubriques des Pratiques en RH à Entreprise & Carrières. Je suis actuellement consultante en communication et gérante de la société PLUM’PRO que j’ai créée.
La communication est essentielle dans nos sociétés contemporaines. Ceux qui savent la maîtriser occupent les postes les plus prestigieux. La concurrence mondiale oblige ! Les sociétés françaises ont, elles aussi, compris qu’elles avaient tout intérêt à s’appuyer sur le levier de la communication pour déployer leur projet d’entreprise. En conséquence, elles embauchent désormais de vrais professionnels à ces postes. C’est-à-dire des managers capables d’une part de créativité, d’abstraction, de conceptualisation, d’ouverture au monde et aux hommes, et d’autre part de réactivité, de pragmatisme, notamment grâce à leur maîtrise des outils de diffusion de la communication… D’où les débouchés pour les futurs diplômés du CELSA ! »
Cristina Russen
Master 2 professionnel Stratégies de Marques et Communication plurimédia
Chargé d’étude chez Scanblog
« Pour moi, le CELSA se distingue par la qualité de ses cours, la cohérence des thématiques sélectionnées et la motivation de ses étudiants. »
« Pourquoi le CELSA ? Pour tant de raisons ! Je m’arrêterai aux trois principales : afin de pouvoir réorienter ma carrière professionnelle : je viens du monde de la pub où j’ai passé presque 10 ans en tant que commerciale – mon dernier poste étant de directrice de clientèle chez Saatchi & Saatchi – et j’avais besoin de « changer d’angle de vue », en m’orientant vers une discipline qui réponde mieux aux mouvements/ tendances de la société actuelle. Ensuite, pour améliorer mes connaissances sur la com française – mon passé, en tant que responsable de clients internationaux, est lié à une vision anglophone du métier. Et, bien sûr, pour la réputation de l’école.
Cette formation m’a permis de trouver des bases théoriques que je cherchais. « La boîte magique » a été ouverte, mais je n’ai pas encore fini de lire tout ce qui m’intéresse. Grâce à cette formation j’ai connu des gens du monde de la com et leurs histoires qui nourrissent mon quotidien professionnel.
J’ai beaucoup apprécié le mix de cours théoriques et études pratiques, la cohérence dans leur sélection par rapport au spécificité de la formation, ainsi que la qualité des intervenants.
J’ai réussi à réorienter ma carrière ; maintenant je travaille dans une agence de conseil où nous accompagnons nos clients afin de mieux valoriser leur présence en ligne, lui donner de la valeur ajoutée, de l’utilité aux yeux des gens qui surfent la toile. Je m’occupe, principalement, de l’audit « état des lieux » sur la perception des marques sur le support web.
Et, puis, grâce au master, j’ai lié de très belles amitiés qui continuent.
Ce qui m’a paru intéressant dans cette formation continue est le pouvoir de l’être humain de retrouver un état d’esprit d’étudiant de 20 ans, mais tout en profitant de l’expérience professionnelle accumulée. »
Valérie Busseuil
Master 2 professionnel Communication des Collectivités Territoriales Promotion 2013/2014
Responsable de la communication culturelle et des relations publiques Ville et Eurométropole de Strasbourg
« La formation permet d’acquérir un socle solide de connaissances. Elle allie la rigueur et l’ouverture très large dans le champ professionnel et humain. »
« Pourquoi le Celsa ?
Pour trois raisons :
J’ai choisi cette formation pour élargir mon champ de compétences professionnelles en communication publique, pour le programme construit en modules d’enseignements universitaires et professionnels, parce que le diplôme et l’école sont reconnus.
Vivre pendant un an l’aventure de la formation continue au Celsa, se replonger dans les cours, les examens et les travaux de groupe, vivre le rythme de formation avec des voyages Strasbourg-Paris tous les 15 jours, se demander comment affronter le mémoire, sa rédaction puis sa soutenance, vivre une belle cohésion de groupe avec ses condisciples, et en même temps assurer les responsabilités de notre poste peut paraître impossible à réaliser…Et pourtant, c’est une formidable expérience, humaine, personnelle, professionnelle que je recommande à tous. »
Bertrand Matge
Master 2 Pro Cultures, Tourismes et Communication 2010-2011 Consultant Senior – You Team
« Le Master « Cultures, Tourismes et Communication » est rapidement apparu comme une évidence… »
« Après une formation initiale en école de commerce, j’ai travaillé une dizaine d’années dans l’informatique. Préférant les petites structures, j’ai toujours occupé des postes polyvalents comme l’avant-vente, le marketing et le développement commercial. J’ai pris une année de césure en 2007 pour réaliser un projet personnel – une longue marche – qui m’a permis de traverser de nombreux territoires et de rencontrer beaucoup de professionnels du tourisme. L’idée d’une reconversion était semée. Il était cependant impensable pour moi de changer de carrière sans qualification préalable.
J’ai donc cherché une formation qui m’offre à la fois les clés de compréhension d’un nouveau secteur, et les enseignements théoriques indispensables pour asseoir une légitimité dans le domaine du marketing et de la communication. Le Master « Cultures, Tourismes et Communication » est rapidement apparu comme une évidence. La spécificité sectorielle de cette formation répondait à ma première exigence et l’excellence du CELSA à la seconde.
Condensé sur quatre mois, l’enseignement théorique ne représentait qu’une courte période de suspension d’activité professionnelle et correspondait tout à fait à mes besoins. C’est un format idéal qui déclenche rapidement une dynamique de groupe entre des étudiants aux profils aussi différents que complémentaires. On retrouve d’ailleurs cette complémentarité dans l’équipe pédagogique, disponible et à l’écoute des étudiants.Le programme est dense et très varié, tant par les sujets que par les approches. C’est assez déroutant au début mais petit à petit, un ensemble cohérent et familier se forme et nous aide à lancer le chantier du mémoire. C’est un travail de fond qui rappelle à une rigueur et une précision dont je n’avais plus forcément l’habitude dans le monde professionnel, bien que travaillant souvent sur des documents longs et complexes. J’ai acquis un certain nombre de reflexes et d’automatisme qui j’espère ne me quitteront plus.
Peu de temps après la formation, j’ai été recruté par un cabinet d’études et de conseil spécialisé en assistance à maitrise d’ouvrage pour le secteur public en général et le tourisme en particulier. Nous accompagnons les collectivités dans le cadrage de leurs projets web ou mobile en les aidant à définir les orientations stratégiques, techniques et communicationnelles de leurs dispositifs.
La remise en question de ses acquis est toujours intéressante lorsqu’on travaille dans des domaines mouvants comme le marketing et la communication. Les modèles évoluent et gagnent en subtilité. De nouvelles disciplines se distinguent et ouvrent de nouvelles opportunités.
L’enseignement en formation continue, après une expérience professionnelle significative, permet de prendre un recul et une certaine hauteur de vue par rapport à ses propres pratiques. C’est une formidable remise en question qui ouvre des perspectives d’autant plus larges qu’elles sont présentées par des intervenants que qualité. »
Véronique Guichard
Master Professionnel 2, Cultures Tourisme et Communication Responsable Administration des Ventes, Honeywell Secan
« Le Celsa me permet d’effectuer une reconversion professionnelle dans un domaine qui me passionne. »
« J’ai choisi cette grande école pour la qualité de son enseignement et sa reconnaissance dans le monde professionnel. Au cours de mon stage de 3 mois, j’ai occupé un poste de chargée de relations publiques à la Ville de Paris et suis actuellement à la recherche de missions dans le domaine de la communication culturelle ou touristique.
Un moment fort au cours de la formation CTC : un audit réalisé en équipe. Dans le cadre de l’intégration des supports numériques dans l’action culturelle de la direction des publics du Centre Pompidou, nous avons analysé un questionnaire de satisfaction sur les expositions en vue du renouvellement de son éditorialisation et présenté les préconisations de déploiement des relations numériques vers les publics via des actions à court, moyen et long termes. Le sujet m’a passionné !
Malgré un rythme soutenu, j’ai savouré 4 mois d’épanouissement intellectuel et ai vécu une véritable renaissance personnelle. Je suis toujours en contact avec ma responsable de Master pour le suivi de mon mémoire et avec certains étudiants de ma promotion avec lesquels j’entretiens des relations très amicales. J’ai le sentiment d’appartenir à une communauté dont je partage les valeurs.Mon mémoire de recherche porte sur « l’éditorialisation des parcours d’art contemporain dans la mise en œuvre de Paris Métropole culturelle et touristique ». Etant donné l’actuelle accélération de la mise en œuvre de Paris Métropole et de sa médiatisation symbolique, quelles démarches d’intermédiation éditoriale et organisationnelle peuvent être engagées auprès des acteurs et principaux publics de l’art contemporain, que sont les franciliens et les touristes ? »
Patricia Montin
Master 2 Professionnel Communication des Collectivités Territoriales Promotion 2011/2012 Chef de projet, Seine et Marne Développement
« Je suis persuadée que la formation et le diplôme seront un atout dans une évolution future. »
« Avant de décider de faire la formation du Celsa, j’avais besoin de prouver ma légitimité au poste que j’occupais car je n’avais pas de formation en communication. La formation m’a permis d’en acquérir tous les fondamentaux.
Faire un Master à temps partiel en formation continue demande du courage. On cumule une année de formation riche et intense, avec la vie professionnelle et personnelle. Cet investissement ne peut se faire que si l’école et le diplôme sont reconnus.
C’est pourquoi j’ai choisi le Celsa. On s’aperçoit très vite que la réputation de l’école n’est plus à faire, qu’il y a une culture Celsa. Lorsque vous rencontrez des « communicants », ils ont souvent fait le Celsa aussi, ce qui vous fait entrer rapidement dans le réseau des anciens.
J’ai pris beaucoup de plaisir à me dépasser, à puiser dans mes réserves, à chercher des ressources inconnues jusqu’alors. Le travail du mémoire a été une révélation sur mes capacités, mais aussi un vrai challenge pour rendre puis soutenir dans les temps impartis.
Beaucoup pensent que rentrer au Celsa est difficile. Je pense que ce qui est le plus difficile c’est d’en sortir.
On ressent un réel manque, le manque des personnes qui ont fait la formation comme vous et qui deviennent des amis, le manque de ces jours de formation qui reviennent régulièrement nous permettant de sortir du quotidien pour apprendre des autres. »
Adélaïde Magalhaes Alves De Lima
Master 2 Pro Stratégies de Marques et Communication Plurimédia 2010-2011
Chargée d’études, planneur stratégique – ID MAP
« Je suis persuadée que la formation et le diplôme seront un atout dans une évolution future. »
« J’étais responsable de communication externe depuis 5 ans pour un important industriel français qui fabriquait et commercialisait des produis de positionnement destinés à tout types d’engins mobiles qui nécessitaient une très grande précision. Je m’occupais d’établir et de coordonner la politique des salons à l’international, les workshops et participait à la production de tous les outils de communication (brochures, site internet..). Malheureusement, une fusion d’entreprise interne au groupe a fait que j’ai perdu mon emploi. J’étais donc au chômage depuis quelques semaines mais je sentais l’envie de changer de voie.
J’ai effectué un bilan de compétences via un cabinet spécialisé dans les métiers de la communication J’avais très envie d’autres choses et il était temps d’aller ce vers quoi j’étais attirée : les marques et leurs différents moyens d’expressions. Ce virage professionnel m’incitait à reprendre mes études afin de valider mes connaissances et aptitudes auprès des recruteurs. La lecture du programme et des objectifs du Master SMCP m’avait enchantée.
J’ai intégré, d’abord en stage, puis en CDI, une petite agence d’études qualitatives et de conseils de 6 personnes à Paris, ID MAP. J’ai accepté d’occuper une place de « Junior » dans la fonction chargée d’études (méthodes, écriture de guides d’entretien et de groupe) tout en occupant un poste de « Sénior » dans la partie gestion de projet et planning stratégique. Cette relation privilégiée me permet d’accélérer mon immersion et être force de proposition en termes de recommandations stratégiques.
La formation m’a largement sensibilisée sur tout un pan de la communication qui m’étais inconnue et malgré tout structurante : dans la façon de décomposer et construire une marque. Elle m’aide tous les jours à construire la réflexion face aux problématiques clients et me guide naturellement dans les recommandations intégrées aux résultats d’études.
J’ai rencontré des personnes formidables tant au sein du corps enseignant que sur les bancs de l’école. De tout horizon mais avec cet objectif commun : apprendre et progresser dans notre projet professionnel. Nous avons vécus cette parenthèse comme une chance même si elle nécessite une réorganisation de notre vie bien installée. Nous sommes unanimes dans la qualité des liens que nous avons tissés et nous travaillons pour que chacun profite de notre réseau personnel. »